Rapport réel d’adéquation « future » – Relación real de conveniencia «futura»

Rapport réel d’adéquation « future »

En analysant les deux aspects, les théoriciens ont toujours observé l’importante relation  entre l’économie et le cours du temps :

            « L’idée de causalité est toujours reliée à celle du temps. Tout processus de changement signifie une apparition, une construction, une transformation, et cela n’est imaginable qu’en tenant compte du facteur temps. Il est également impossible de  comprendre totalement le lien de causalité entre les phénomènes de ce processus  si on ne prend pas le temps en considération » 22 

            La valeur des biens primaires et intermédiaires  n’est pas due à leur capacité à satisfaire des besoins immédiats mais à leur capacité potentielle à atteindre des besoins humains qui seront effectifs dans le futur quand le processus productif sera terminé.

            « Les biens d’un ordre supérieur affirment leur qualité de bien sans faire référence aux nécessités du présent immédiat mais en  se rapportant aux besoins, qui de même que les attentes de l’individu, n’apparaissent qu’à la fin du processus de production »23

            Böhm-Bawerk a donné un élan important au concept de  la variable temporelle en relation avec le phénomène de l’intérêt du capital et de son explication. Son analyse lui fait  considérer le temps comme un facteur de production supplémentaire : « Tout comme pour la valeur du tronc du chêne, la valeur de tous les produits n’est pas seulement le fruit du travail mais aussi le fruit du temps. »24

            La valeur regarde toujours vers le futur. Le temps est une réalité qu’il faut toujours prendre en compte. C’est un bien économique de caractère gratuit. C’est une ressource toujours nécessaire. C’est un bien économique qui se consomme et qui nous donne la possibilité de produire, travailler, découvrir des richesses, et rapporter de l’argent. Le temps se mesure en terme de valeur par rapport à sa capacité à produire des richesses futures, sa productivité, son aptitude à s’adapter ou à être utile. De fait, tout processus implique un certain laps de temps, sans ce processus on ne pourrait parler d’objet produit.

            Le temps est un bien économique si le temps souhaité – pour réaliser une activité donnée grâce à laquelle on pourra obtenir un résultat concret- est supérieur au temps disponible. Le manque, cette caractéristique économique de base qui indique la différence entre besoins et ressources, peut aussi s’appliquer au temps.

            Le facteur temps est à l’origine de la théorie classique erronée de la valeur-travail. Le travail était considéré  comme étant incorporé, passé, une caractéristique de la valeur. La valeur est une référence tournée vers le futur et non vers le passé. Böhm-Bawerk révéla cette erreur.

            « Enfin, les théories qui dépassent cette vielle superstition qui voulait que la valeur des biens soient à se chercher dans leur passé et non dans leur avenir, occupent un rang supérieur. Ces doctrines savent ce qu’elles doivent expliquer et savent aussi dans quelle direction elles doivent l’expliquer »25

            Tout comme Böhm-Bawerk, Hicks a critiqué le caractère statique des études historicistes  dans le domaine économique. Selon lui, le temps marquera les différences entre l’immobilité et la dynamique économiques : « Le concept de l’économie que l’on a enseigné à la majorité d’entre nous se basait sur la théorie statique, c’est pourquoi maintenant, quand nous nous trouvons face aux lignes principales d’une théorie dynamique, nous découvrons de  grandes différences et nous ne pouvons qu’admettre que notre vision de l’ensemble change. »26  « Je donne la dénomination d’économie statique à ces parties de la théorie économique ou nous ne prenons pas la peine de dater les événements ; l’économie dynamique est celle ou tout doit être daté »27

            La référence temporelle, future, est inhérente à la valeur. Böhm-Bawerk, encore lui, l’a magistralement mis en évidence : « Dans notre manière d’attribuer une valeur à un bien que nous possédons, nous  respectons le principe de l’anticipation des utilités pour l’avenir. Nous n’estimons pas la valeur de nos biens en ne nous référant qu’à leur utilité immédiate, nous prenons aussi en considération ce qu’ils nous rapporteront dans le futur. Notre estimation d’un lopin de terre en friche tient compte des éventuelles récoltes à venir. Nous donnons une valeur aux briques, aux poutres et aux clous dipersés,   qui dans cet état ne nous sont d’aucune utilité, parce que dans le futur, une fois assemblés pour former une maison, ils nous rapporteront. Si nous faisons une évaluation du moût que nous ne pouvons utiliser dans cet état, c’est parce que nous savons qu’avec le temps il deviendra du vin. Et de la même manière, nous pourrions donner une valeur au vin qui vient d’être tiré parce que nous savons que dans la cave il deviendra un vin excellent, nous ferions ainsi référence à l’utilité future de ce vin  »28

            Le temps et l’espace sont complètement intégrés aux autres caractéristiques des biens matériels, on ne peut d’ailleurs les en dissocier. Cela signifie, non seulement, qu’un bien peut avoir des valeurs différentes selon le lieu ou il se trouve ou le moment ou le prend en considération, mais en plus, que l’objet en question devient différent et par conséquent a une valeur distincte. Nous pouvons faire abstraction du temps et de l’espace pour observer les autres complémentarités entre les biens mais si nous ne le faisons pas, la diversité complémentaire augmente considérablement.

            Les modèles abstraits d’équilibre doivent essayer d’incorporer les variables spatiales et temporelles s’ils veulent s’approcher de la réalité des valeurs économiques dans leurs prédictions.

            « A l’opposé de notre « économie immédiate » pure, nous avons un autre modèle : notre saine « économie a priori »  »

 « En examinant le système de prix que nous pourrions établir dans une économie a priori, nous pouvons vérifier si ce  système de prix maintient l’équilibre au fil du temps avec une série déterminée de conditions variables »29

            Le passé, en  économique, n’est qu’une expérience de laquelle on tire des enseignements pour le futur. En termes de valeur économique, le passé «  n’existe déjà plus. »

            « Même le ciel n’a pas de pouvoir sur le passé. » De manière concrète, cela signifie que nous devons considérer comme définitif l’équipement matériel de la communauté. « Dorénavant,  le problème économique consistera à distribuer les ressources, héritées du passé, pour satisfaire les besoins présents et futurs » 30

Il faut distinguer la consommation d’aujourd’hui de celle de demain. La finalité de la consommation d’aujourd’hui consiste à produire (travailler) puis, le lendemain,  on  consomme à nouveau pour continuer à travailler le jour suivant. La consommation d’un jour, d’un mois ou d’un an a pour objectif le travail de cette journée-là, ce mois-là ou cette année-là mais aussi la consommation et le travail du lendemain, du mois suivant ou de l’année suivante. La consommation vise toujours la possibilité d’une activité future et l’amélioration de celle-ci.

« Quand les individus isolés ou les habitants de régions entières ou de groupes de régions, sont unis entre eux par l’échange, ils s’efforcent de prévoir les besoins qu’ils auront dans le futur et de calculer la quantité de biens dont ils disposent pour les couvrir. »31

Bien qu’en  économie, on ne s’intéresse généralement qu’aux biens peu abondants, puisque ce sont ceux qui posent le plus de problèmes de gestion, on pourrait également étudier les biens qui pour l’instant ne sont pas rares mais qui pourraient l’être demain. La pénurie, qui n’est rien d’autre qu’une autre expression de ce rapport  constitué par  la valeur, a, elle aussi, une dimension temporelle.

La valeur est une spéculation, une estimation, d’un futur plus ou moins proche, une estimation de mes besoins de consommation et de mes  possibilités de production mais aussi des besoins de consommations et de production de mes voisins. En effet, lorsque j’échangerai ma production, l’augmentation de la valeur de cette production dépendra de sa propension à augmenter la richesse de mes voisins.

Un des apports les plus importants, pour ne pas dire fondamental, de John Maynard Keynes dans sa Théorie Générale est l’introduction dans l’analyse économique de la notion de perspectives futures des entreprises. La variable temporelle joue un rôle décisif avec  la rationalité et la liberté économique des entreprises. Mais Keynes qui n’a appliqué ses principes  qu’au secteur des entreprises aurait pu aller plus loin. Tout agent économique, même le consommateur, agit en fonction de ses attentes, en espérant que ses objectifs vont être atteints.  Parce que la tendance qui consiste à vouloir accroître la valeur économique est générale et que celle-ci sous-entend  la prise en considération de la variable temporelle, les expectatives jouent un rôle décisif pour tous les agents économiques.

Les monétaristes tentent de combler ces lacunes en étudiant les perspectives des consommateurs en introduisant les concepts de revenu permanent et de cycle vital.

N’importe quelle analyse se voulant scientifique et ayant un rapport avec la valeur économique ne peut nier, à ce niveau de réflexion de la pensée économique, l’introduction du temps comme facteur  décisif.

Dans ce chapitre, nous avons essayé d’expliquer et de décrire ces concepts et il sera nécessaire de se souvenir de ces réflexions durant la lecture de ce travail pour ne pas en fausser la  signification.

La définition descriptive de la valeur économique à laquelle nous sommes arrivés peut se résumer ainsi : un rapport réel d’adéquation, ultime, complémentaire, concrète et future de l’objet estimé avec l’objectif de l’utilisateur final.

22 MENGER, op.cit., p.6.

23 Id, ib, p.62.

24 BÖHM-BAWERK, op.cit, p.515.

25 Id, ib, p.518.

26 HICKS, op.cit., p359.

27 HICKS, op.cit., p 129.

28 BÖHM-BAWERK, op.cit, p.502..

29 HICKS, op.cit., p162.

30 Id., ib., p.149.

31 MENGER, op. cit., p.83.

  1. Relación real de conveniencia «futura»

Al analizar ambos aspectos, los teóricos han observado siempre la enorme relación entre economía y transcurso temporal:

«La idea de causalidad está inseparablemente unida a la del tiempo. Todo proceso de cambio significa un surgir, un hacerse, un devenir, y esto sólo es imaginable en el tiempo. Es también indudable que no podemos comprender a fondo el nexo causal de cada uno de los fenómenos de este proceso si no lo consideramos en el tiempo y según la medida del mismo». 22

Los bienes primarios e intermedios no tienen valor por su capacidad de satisfacer necesidades presentes, sino porque tienen capacidad de acercamiento complementario a las necesidades humanas que se harán presentes en un futuro, cuando el proceso productivo llegue a su fin.

«Los bienes de un orden superior piden y afirman su cualidad de bienes no con referencia a necesidades del presente inmediato, sino únicamente respecto a necesidades que, a tenor de las expectativas humanas, sólo aparecerán en unos momentos en los que ya habrá llegado a su fin el proceso de producción». 23

Bohm-Bawerk dio un impulso relevante a la variable temporal en relación con el fenómeno del interés del capital y su explicación. Su análisis le lleva a considerar incluso el tiempo como otro factor de producción: «Lo mismo que con el valor del tronco del roble ocurre con el de todos los productos que no son solamente fruto del trabajo, sino también del tiempo». 24

El valor mira siempre al futuro. El tiempo es una realidad a tener en cuenta siempre. Es un bien económico de carácter gratuito al que podemos asignarle un coste de oportunidad. Es un recurso siempre necesario. Es un bien económico que se consume y que nos brinda la posibilidad de producir, de trabajar, de descubrir riqueza, de rendir. El tiempo también es medido en términos de valor como capacidad de producir riqueza futura, como productividad, como idoneidad, serviciabilidad. De hecho, todo «proceso» implica en sí un tiempo, y sin proceso no se puede hablar de hecho u objeto producido.

El tiempo es un bien económico si el tiempo deseado -para realizar una actividad determinada mediante la cual conseguir un resultado concreto- es superior al tiempo disponible. La escasez, característica básica económica que indica esa diferencia entre necesidades y recursos, se puede aplicar también al tiempo.

El factor tiempo se encuentra en el origen del error clásico de la teoría del valor-trabajo, al considerar el trabajo incorporado, pasado, como el característico del valor. El valor tiene. una referencia siempre futura, no pasada. Le correspondió a Bohm-Bawerkponer de manifiesto tal equivocación.

«Finalmente, ocupan un escalón todavía más alto aquellas teorías que se sobreponen totalmente a la vieja superstición de que el valor de los bienes debe buscarse en su pasado y no en su porvenir. Estas doctrinas saben lo que se proponen explicar y saben también en qué dirección deben explicarlo». 25

Al igual que Böhm-Bawerk, Hicks criticará el estatismo de los antiguos estudios historicistas en el campo económico. Para este autor, el tiempo marcará las diferencias entre la estática y la dinámica económicas: «El concepto de la economía en que la mayoría nos hemos educado se basaba en la teoría estática, de modo que ahora, cuando nos encontramos con los lineamientos principales de una teoría dinámica y ésta resulta ser muy diferente de la teoría estática, no tenemos más remedio que admitir que nuestra visión de conjunto de las cosas cambia». 26 «Llamo estática económica a aquellas partes de la teoría económica en que no nos tomamos la molestia de fechar los acontecimientos; economía dinámica a aquellas partes en que toda cantidad ha de tener una fecha». 27

El enriquecimiento de la relación real de conveniencia al hombre de los distintos objetos requiere tiempo para su consumación. Es consustancial al valor tener una referencia temporal, futura, que Bohm-Bawerk, de nuevo, puso magistralmente en evidencia: «En nuestro modo de valorar los bienes que poseemos, no cabe duda que nos atenemos al principio de la anticipación de las utilidades del porvenir. No valoramos nuestros bienes o no los valoramos solamente con arreglo a la utilidad que nos reportan en el momento, sino también con’ arreglo a la que nos reportarán en el porvenir. Atribuimos un valor a una tierra por el momento baldía atendiendo a las cosechas que puede llegar a damos; atribuimos un valor actual a los ladrillos, las vigas, los clavos dispersos, que en este estado no nos reportan utilidad alguna, atendiendo desde ahora a la utilidad que rendirán en el futuro cuando esos elementos se combinen para formar una casa; valoramos el mosto en fermentación, que en este esta­do no podríamos utilizar, porque sabemos que con el tiempo se convertirá en vino. Y del mismo modo podríamos valorar también el vino recién cosechado, del que sabemos que habrá de convertirse en la bodega en un vino excelente, atendiendo a la utilidad futura que está llamado a reportamos como vino hecho». 28

      El tiempo y el espacio están completamente integrados con las demás características de los bienes materiales, de tal forma que son inseparables de ellos. Esto significa no sólo que una misma cosa tiene valores diferentes según esté en un lugar o  en otro o se  considere  en un  determinado  momento  o  en otro,  sino  que,

incluso, se puede decir que son cosas diferentes y, por lo tanto, tienen valores económicos diferentes. Podemos abstraer el espacio y el tiempo para observar el resto de complementariedades entre los bienes, pero, si no abstraemos estas realidades, la diversidad complementaria se multiplica enormemente.

Los modelos abstractos de equilibrio tienen que tratar de incorporar las variables temporal y espacial si quieren aproximarse a la realidad de los valores económicos en sus predicciones.

«En el extremo opuesto de nuestra «economía inmediata» pura tenemos otro modelo: nuestra «economía a futuro» pura.» «Examinando qué sistema de precios se establecería en una economía a futuro, podemos averiguar qué sistema de precios mantendría el equilibrio a través del tiempo con una determinada serie de condiciones cambiantes». 29

El pasado no cuenta en términos económicos más que como experiencia de la que se aprende para el futuro. En términos de valor económico, el pasado «ya no es».

«Ni el cielo tiene poder sobre el pasado.» Esto significa, concretamente, que se ha de dar por sentado todo el equipo material de la comunidad. «De ahora en adelante el problema económico consistirá en distribuir estos recursos, heredados del pasado, para la satisfacción de necesidades presentes y futuras». 30

Hay que distinguir el consumo de hoy, cuyo fin es el poder producir (trabajar) y de nuevo consumir mañana para seguir trabajando pasado, del consumo de mañana. El consumo de un día, un mes, un año mira al trabajo de ese día, mes o año, y éste al consumo y trabajo del día siguiente, mes siguiente, año siguiente. El consumo mira siempre a la posibilidad y mejora de la actividad futura.

«Tanto los individuos aislados como los habitantes de regiones enteras o de grupos de regiones, unidos entre sí por el intercambio, se esfuerzan de una parte por formarse una idea de las necesidades que tendrán en tiempos futuros y, de la otra, por calcular la cantidad de bienes de que disponen para cubrirlas». 31

Aunque el campo de la economía se restringe generalmente a los bienes escasos, que son los que plantean problemas de administración, bien podríamos ampliar su campo a la previsión y estudio de bienes no escasos hoy pero que pueden resultar escasos mañana. La escasez, que no es más que otra expresión de esa relación en que consiste el valor, también tiene una dimensión temporal.

El valor siempre es una especulación, estimación, de futuro más o menos cercano, una estimación de las necesidades de consumo y de las posibilidades de producción propias y una estimación de las necesidades de consumo y de producción ajenas, consideradas siempre en su futuro. Una estimación de las ajenas, porque en el intercambio que intento con mi producción de bienes para otros, mi aumento de valor depende de que esa producción propia de bienes para otros aumente el valor de la riqueza de otros.

Una de las más importantes aportaciones; de John Maynard Keynes en su Teoría General, si no la fundamental, es la introducción en el análisis económico de la noción de expectativas empresariales de futuro. La variable temporal juega un papel decisivo en tal planteamiento, en unión de la racionalidad y libertad económica empresarial. Sin embargo, Keynes se quedó corto al aplicar las expectativas exclusivamente al sector empresarial. Todo agente económico, incluido el consumidor, actúa bajo expectativas futuras de consecución de libres y diversos objetivos. Como la tendencia a tratar de incrementar el valor económico es general y el valor lleva consigo la consideración de la variable temporal, las expectativas de futuro juegan un papel decisivo en la actuación de todos los agentes económicos.

Los monetaristas están tratando de llenar estas lagunas estudiando las expectativas de gasto de futuro de los consumidores con la introducción en el análisis de los conceptos de renta permanente y ciclo vital.

Cualquier análisis mínimamente científico en relación con el valor económico no puede obviar, a estas alturas de reflexión del pensamiento económico, la introducción del tiempo como factor de concreción decisorio.

En este capítulo hemos tratado de explicar y describir estos conceptos y convendrá tener presente estas reflexiones a lo largo de todo el presente trabajo para no desviar su significado.

La definición descriptiva del valor económico a la que hemos llegado se resume diciendo que es una relación real de conveniencia última, complementaria, concreta y futura del objeto valorado al objetivo del usuario final.

 —————————————————————————

22   MENGER, op. cit., p. 6.
23   Id., ib., p. 62.
24   BÖHM-BAWERK, op. cit., p. 515.
25   Id., ib., p. 518.
26   HICKS, op. cit., p. 359.
27   HICKS, op. cit., p. 129.
28   BÓHM-BAWERK, op. cit., p. 502.
29    HICKS, op. cit., p. 162.
30     Id., ib., p. 149.
31    MENGER, op. cit., p. 83