TAUX DE RESERVES DE 100% 

TAUX DE RESERVES DE 100% 

Ne croyez pas qu’il y a une erreur d’impression dans le pourcentage. Je veux faire écho justement du lancement récent au marché,

Ils ne croient pas qu’il ya eu une erreur d’impression en pourcentage. Je veux faire écho juste le lancement récent du marché, publiquement, d’un missile intellectuel très puissant avec une ogive nucléaire et avec des effets bénéfiques incalculables dans le système financier et économique actuel, dans l’orbe occidental et donc au niveau mondial. Il s’agit de La introducción crítica a la edición española, écrit par le professeur Huerta de Soto, dans le livre de Vera C. Smith appelé Fundamentos de la banca central y de la libertad bancaria et publié par Unión Editorial. Je suis témoin privilégié de la coïncidence purement accidentelle, mais pas causale, avec les problèmes financiers espagnols actuels qui apparaissent tous les jours dans les médias.

Notre Quixote financière insiste sur le fait de que le système de la banque centrale est le résultat logique et inévitable de l’introduction progressive et subreptice par des banquiers privés, avec une complicité historique avec les gouvernements, du système bancaire basé sur la réserve fractionnaire. La seule façon de parvenir à un système de banque libre est rétablir le principe selon lequel est nécessaire de garder en réserve le 100% des quantités reçues comme des dépôts à vue. Il existe une norme traditionnelle et multiséculaire de conduite qui est violé dans le l’activité bancaire. Tel est le principe de la loi en vertu de laquelle le contrat de dépôt d’argent fongible, l’obligation traditionnelle de la garde, qui est un élément essentiel dans tous les dépôts non fongibles, se matérialise en l’exigence de que, dans tout moment, on garde une réserve du 100% de la quantité d’argent fongible reçue en dépôt, de manière que tout acte de disposition de cette argent, et particulièrement l’octroi des crédits, est une violation de ce principe et, en bref, un acte illégitime de détournement.

Les conséquences sociales néfastes de ce privilège accordé aux banquiers n’étaient pas pleinement comprises jusqu’à le moment où Mises et Hayek développaient la théorie appelée Théorie Autrichienne du Cycle Économique. Cette erreur intellectuelle, éthique et financier, tôt ou tard, mais toujours inexorablement, doit produire quelques ajustements spontanés inévitables sous la forme des expansions incontrôlées de l’offre monétaire, dans un premier temps, aussi d’inflation, une mauvaise allocation généralisée à cause des ressources productives au niveau macroéconomique et, finalement, la récession, la liquidation des erreurs induites par l’expansion du crédit dans la structure productive, et un chômage massif.