Dérivations postérieures de la théorie sur la valeur au sens subjectif. – Derivaciones posteriores de la teoría subjetiva del valor

Dérivations postérieures de la théorie sur la valeur au sens subjectif.

      Avec l’exaltation des finalités subjectives, on commit à nouveau une grave erreur : on mit de côté l’offre et les causes originaires pour se concentrer exclusivement sur les besoins subjectifs. La production fut reléguée à un second plan et on se concentra sur l’étude de l’efficacité dans l’assignation des ressources. Les quantités de ressources rares étaient distribuées et il s’agissait d’optimiser la satisfaction des individus.

            Pour les classiques, la production était vitale. L’activité économique se présentait comme une lutte de l’homme contre la nature. L’analyse se situait à un niveau physique. La richesse matérielle n’était pas fixe, elle pouvait augmenter grâce au travail. Et même en supposant que les ressources naturelles soient invariables, la main d’œuvre, elle, pouvait augmenter. Il s’agissait de combattre la rareté. Les classiques n’étaient pas intéressés par la répartition, en proportions particulières entre différents secteurs. Ils se préoccupaient plutôt de connaître le volume total de l’activité économique car, pour eux, c’est ce qui déterminait la richesse. 25

            Les théoriciens de l’utilité ne se sont plus intéressés à la production, ils ont préféré se consacrer à une étude minutieuse de la distribution et de la consommation. Cette tendance dérive particulièrement des économistes de « l’Equilibre Général », de l’école de l’utilité marginale.

            La stérilité du système de Walras, selon Hicks, provenait du fait qu’il considérait une certaine quantité de ressources et des préférences des acheteurs qui ne variaient pas. Cela lui permettait d’expliquer comment étaient fixés les prix mais il n’expliqua pas ce qui se passerait si les goûts des consommateurs ou les quantités de ressources venaient à changer. 26 

      La théorie de la valeur-travail, malgré ses défauts, démontrait très clairement que nous  ne devons pas nous arrêter à l’efficacité du système économique pour attribuer les ressources dans une structure statique, il faut plutôt chercher les répercussions dynamiques des actions des particuliers sur le volume total d’emplois et le rythme de croissance économique. 27 

            Cette dérive de Walras, puis de Clark, vers l’étude exhaustive de la répartition des ressources et l’analyse statique a été très importante sur le continent européen mais n’a pas eu les mêmes répercussions chez des économistes anglais. Ces économistes que nous pouvons considérer comme  néo-classiques et parmi lesquels se détache Marshall, n’ont pas renoncé complètement à la perspective classique de la valeur-travail. Avec la théorie du coût réel, ils se sont rapprochés des lignes fondatrices de la pensée classique qui concevait le problème économique comme la lutte de l’homme contre tout ce qui l’entoure et comme une analyse dynamique, héritée de John Stuart Mill, fondée sur l’accumulation de capital et de population.

            Ce mélange entre les idées économiques classiques et celles de l’école de l’utilité marginale, a marqué de manière importante la pensée économique anglaise entre 1890 et 1920. Telle une troisième force, ce courant est apparu, il se caractérisait par le pragmatisme du bon sens appliqué aux problèmes pratiques, réels, se distanciant ainsi de la tentative d’élégance formelle et de concision purement logique.

            En plus de l’importante figure de Marshall, nous devons citer, ici, Sidgwick, Nicholson, Cannan, Taussig,  Allyn Young et beaucoup d’autres économistes qui tentèrent de réussir la difficile synthèse entre offre et demande dans le problème de la valeur.  

             Quand Jevons a voulu souligner un aspect de la valeur que ces économistes avaient sous estimé, il a écrit: « De nombreuses études et recherches m’ont amené à croire que la valeur dépend complètement de l’utilité »28      [i]

25 MYINT, op.cit.
26 HICKS, Valor y capital, FCE, México 1974.
27 MYINT, op.cit. pp. 136-137.
28 JEVONS, Theory…, cit., p.1.

FONDEMENTS DE LA VALEUR ECONOMIQUE – FUNDAMENTOS DEL VALOR ECONÓMICO

Texto original del autor en el idioma castellano (español europeo):

Derivaciones posteriores de la teoría subjetiva del valor

Con la exaltación de los fines subjetivos se cayó en un nuevo reduccionismo, que consistía en dejar de lado la oferta, las causas originarias, y concentrarse exclusivamente en las necesidades subjeti­vas. La producción quedó relegada a un segundo plano y el punto de mira se decantó hacia el estudio de la eficacia en la asignación de recursos entre usos competitivos. Las cantidades de recursos escasos venían dadas y se trataba de maximizar la satisfacción de los indivi­duos.

Para los clásicos la producción era vital. La actividad económica se planteaba en el ámbito de una lucha de hombre contra la natura­leza. El análisis se planteaba, en gran parte, a nivel físico. La riqueza material no era fija, no estaba dada, se podía aumentar con el traba­jo. Aun suponiendo que los recursos naturales vinieran dados de una vez para siempre, la mano de obra podía aumentar. Se trataba de vencer la escasez. En vez de la asignación en proporciones parti­culares entre sectores distintos, a los clásicos les preocupaba el volu­men total de la actividad económica en general como determinante principal de la riqueza 25. Los utilitaristas abandonaron la preocupa­ción y el interés por la producción para volcarse en un estudio minu­cioso de la distribución y el consumo. Esta tendencia deriva especial­mente de los economistas del «Equilibrio General» de la escuela de la utilidad marginal.

      La esterilidad del sistema walrasiano, según Hicks, venía deriva­da del presupuesto de recursos dados y preferencias fijas. Explicó los precios con dichas premisas, pero no explicó qué ocurriría en caso de que cambiaran los gustos o los recursos 26.

Las teorías del valor-trabajo, pese a sus defectos, ponían de mani­fiesto algo muy claro: que no debemos detenemos en la eficacia del sistema económico para asignar los recursos dentro de una estructu­ra estática, sino que es preciso investigar las repercusiones dinámicas de las acciones de los particulares sobre el volumen total de empleo y el ritmo de expansión económica 27.

Esta derivación walrasiana, continuada por Clark, hacia el estu­dio exhaustivo de la asignación de recursos y el análisis estático, fruto de la exaltación subjetiva y el olvido de las causas originarias del valor, tuvo especial relevancia en el continente europeo, pero no se desarrolló con el mismo éxito entre los economistas ingleses. Estos economistas, entre los que destaca Marshall, que podemos englobar entre los neoclásicos, no renunciaron completamente a la perspectiva clásica del valor trabajo. A través de la teoría del coste real, enlaza­ron con las líneas básicas del pensamiento clásico, que concebía el problema económico como la lucha del hombre contra todo lo que le rodea y como un análisis dinámico, heredado de John Stuart Mill, basado en la acumulación de capital y la población.

Esta mezcla o simbiosis entre las ideas económicas clásicas y las de la escuela de la utilidad marginal, entre las causas originaria y la final subjetiva, marcó con distintivo propio el pensamiento económi­co inglés entre 1890 y 1920. Apareció como una tercera fuerza que se caracterizaba por el pragmatismo del sentido común que se dirigía a los problemas prácticos, reales, distanciándose del intento de elegancia formal y concisión puramente lógica.

Además del dominio ejercido por la figura de Marshall, debemos citar aquí a Sidwick, Nicholson, Cannan, Taussig y Allyn Young, entre otros muchos economistas que buscaron y trataron de lograr la difícil síntesis entre oferta y demanda en el problema del valor.

El deseo de Jevons de subrayar un aspecto del valor al que ellos habían dado menor importancia fue, probablemente, responsable de la siguiente opinión: «Repetidos estudios e investigaciones me han llevado a profesar la opinión algo nueva de que el valor depende completamente de la utilidad»28.

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25 MYINT, op. cit.
26 HICKS, Valor y capital, FCE, México 1974.
27 MYINT, op. cit., pp. 136-137.
 28 JEVONS, Theory…, cit., p. 1

FONDEMENTS DE LA VALEUR ECONOMIQUE – FUNDAMENTOS DEL VALOR ECONÓMICO