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La eficacia (rentabilidad de la acción) está en aprovechar al máximo las virtualidades de la realidad, en ordenarlas de acuerdo con sus máximas utilidades. Una misma cosa es idónea para producir otros diversos objetos o efectos. El mayor o menor éxito está en utilizarlas en cada momento y en cada lugar de forma que ejerciten su máxima capacidad al servicio del mejor fin.

4. Rapport de compatibilité « finale » et future. – Relación de conveniencia «última» y futura

Rapport de compatibilité « finale » et future. Ce rapport réel de compatibilité est intrinsèque au sujet d’origine mais il implique un « vers », un « envers » le sujet final c’est pourquoi l’utilité d’un objet a toujours une référence ultime à ce sujet. L’évaluation des différents moyens de production, par exemple, fait toujours référence aux biens de consommations… Seguir leyendo 4. Rapport de compatibilité « finale » et future. – Relación de conveniencia «última» y futura

FONDEMENTS DE LA VALEUR ECONOMIQUE – FUNDAMENTOS DEL VALOR ECONÓMICO

CHAPITRE V. – L’UTILITE : CAUSE SUBJECTIVE FINALE.

Bref corollaire des premières théories sur la valeur.

  1. La renaissance des théories subjectives de la valeur.
  2. L’incorporation des causes finales à la théorie sur la valeur.
  3. Influence des causes finales subjectives à la cause efficiente.
  4. Influences des objectifs subjectifs de l’être humain sur l’activité économique.
  5. Dérivations postérieures de la théorie sur la valeur au sens subjectif.

FONDEMENTS DE LA VALEUR ECONOMIQUE

CHAPITRE PREMIER. –    NATURE DE LA VALEUR ECONOMIQUE.

  1. La valeur économique est un « rapport » d’adéquation.
  2. Rapport réel d’adéquation complémentaire.
  3. Rapport « concret » et « réel » d’adéquation.
  4. Rapport de compatibilité « finale » et  future.
  5. Rapport réel d’adéquation « future. »
  6. Du concept d’adéquation parfaite en économie.

 FUNDAMENTOS DEL VALOR ECONÓMICO

CAPÍTULO III

EL TRABAJO HUMANO COMO CAUSA EFICIENTE DEL VALOR

  1. Importancia del trabajo en la historia del pensamiento económico
  2. El trabajo: Causa activa del valor
  3. La necesidad de considerar los fines en el trabajo.
  4. La prioridad del trabajo humano sobre los bienes materiales

FONDEMENTS DE LA VALEUR ECONOMIQUE

TABLE DES MATIERES.

PROLOGUE de José Luis Pérez de Ayala.

INTRODUCTION

CHAPITRE PREMIER. –    NATURE DE LA VALEUR ECONOMIQUE.

  1. La valeur économique est un « rapport » d’adéquation.
  2. Rapport réel d’adéquation complémentaire.
  3. Rapport « concret » et « réel » d’adéquation.
  4. Rapport de compatibilité « finale » et  future.
  5. Rapport réel d’adéquation « future. »
  6. Du concept d’adéquation parfaite en économie.

Les causes de la valeur économique.

CHAPITRE II. – LES MATIERES PREMIERES : CAUSE MATERIELLE DE LA VALEUR ECONOMIQUE.

  1. La puissance passive des biens matériels.
  2. Le besoin fondamental de ressources naturelles.
  3. Les limites de la croissance en termes purement physiques.
  4. Quelques solutions pour orienter la « domination » de la nature.

CHAPITRE III. – LE TRAVAIL HUMAIN : CAUSE EFFICIENTE DE LA VALEUR.

  1. L’importance du travail dans l’histoire de la pensée économique. – Importancia del trabajo en la historia del pensamiento económico
  2. Le travail :  cause active de la valeur.
  3. La nécessité de prendre en considération les finalités dans le travail. – La necesidad de considerar los fines en el trabajo.
  4. La priorité du travail humain sur les biens matériels.La prioridad del trabajo humano sobre los bienes materiales

CHAPITRE IV. – LES BIENS D’EQUIPEMENT : CAUSE INSTRUMENTALE DE LA VALEUR ECONOMIQUE.

La causalité instrumentale des biens d’équipement. Les théories qui soulignent son efficacité.

  1. Les biens d’équipement agissent sous la direction du travail humain.
  2. Extension du concept de capital.

CHAPITRE V. – L’UTILITE : CAUSE SUBJECTIVE FINALE.

Bref corollaire des premières théories sur la valeur.

  1. La renaissance des théories subjectives de la valeur.
  2. L’incorporation des causes finales à la théorie sur la valeur.
  3. Influence des causes finales subjectives à la cause efficiente.
  4. Influences des objectifs subjectifs de l’être humain sur l’activité économique.
  5. Dérivations postérieures de la théorie sur la valeur au sens subjectif.

CHAPITRE VI. – A PROPOS DE LA CAUSALITE OBJECTIVE DE LA VALEUR.

  1. A la recherche des finalités objectives qui donnent du sens à la théorie sur la valeur.
  2. L’existence de causes finales objectives de la valeur économique.
  3. Conséquence de l’existence des finalités objectives.
  4. L’inaccessibilité des finalités objectives.

CHAPITRE VII. – LA FINALITE DE L’ACTIVITE ECONOMIQUE : CONSOMMATION VERSUS TRAVAIL.

  1. Considérations hédonistes sur l’objectif de la production.
  2. La consommation : bien intermédiaire.
  3. Littéralement : la consommation équivaut à destruction de la valeur, le travail à sa création.
  4. Le travail : une nécessité.
  5. La consommation : un input indispensable. Consommation productive et improductive.
  6. Importance du capital humain. La consommation : investissement en capital humain.
  7. Le travail à venir régit la consommation présente.
  8. Critère du consommateur : obtenir le bénéfice maximal en terme de valeur économique.
  9. La finalité : action avantageuse. L’économie : science des moyens.

CONCLUSION

JUSTICIA Y ECONOMÍA – ÍNDICE

LIBROS

JUSTICIA Y ECONOMÍA MUNDIAL

CITAS DE LIBROS

CAPÍTULOS DE LIBROS

 ARTÍCULOS 

ARTÍCULOS BREVES

APUNTES SOBRE EL DINERO

ECONOMÍA MUNDIAL

Rapport réel d’adéquation « complémentaire » – Relación real de conveniencia «complementaria»

2. Rapport réel d’adéquation « complémentaire » Après avoir vérifié la nécessité d’un sujet de départ et d’un sujet final  pour que la valeur existe, nous observons que cette relation ne fait pas seulement référence au sujet final mais aussi à d’autres éléments qui se conjuguent à l’objet estimé pour permettre l’existence de la relation… Seguir leyendo Rapport réel d’adéquation « complémentaire » – Relación real de conveniencia «complementaria»

Rapport réel d’adéquation « future » – Relación real de conveniencia «futura»

Rapport réel d’adéquation « future » En analysant les deux aspects, les théoriciens ont toujours observé l’importante relation  entre l’économie et le cours du temps :             « L’idée de causalité est toujours reliée à celle du temps. Tout processus de changement signifie une apparition, une construction, une transformation, et cela n’est imaginable qu’en tenant compte du facteur temps.… Seguir leyendo Rapport réel d’adéquation « future » – Relación real de conveniencia «futura»

       La nécessité de prendre en considération les finalités dans le travail.

 Le facteur le plus rare mais aussi le plus utile est le travail humain. Le travail humain est le seul qui permet de dégager « l’utilité » de tous les biens naturels et artificiels.

On apprécie de moins en moins la routine minutieuse, exacte et lente du technicien-fonctionnaire qui s’ajuste à l’engrenage de la planification, par contre, on valorise la prise de décisions innovatrices et la capacité à comprendre des situations complexes. On recherche de plus en plus, dans le travail, une meilleure liaison entre travail et savoir. Travailler ne suffit pas, il faut savoir travailler. L’enseignement professionnel continu est une exigence des rapides changements technologiques. Le savoir est un travail et le travail est un savoir.

Si nous voulons accroître la valeur économique, nous devons essayer d’apprendre davantage et de mieux penser. En profitant de la ressource de l’intelligence humaine, il est possible de mieux organiser et appréhender le progrès technique et scientifique, tout comme les actuelles structures sociales, pour obtenir une augmentation quantitative et qualitative en terme d’humanisation. Il faut intensifier la recherche d’une certaine «  humanité » dans cette société technocratique pour que l’homme puisse redécouvrir sa richesse intérieure, les vastes horizons de son savoir et la force créative de sa liberté.

Le travail de l’homme constitue une activité économique essentielle puisque seul l’homme est capable de découvrir les utilités des biens et de les transformer en biens de consommation. Il fait émerger cette « potentialité » des biens primaires pour la rendre réelle.

Avec sa raison, sa liberté et sa capacité à être objectif, l’homme découvre puis s’approprie les qualités essentielles de tous les êtres matériels pour les rendre réelles par son travail physique. La capacité inventive de l’homme est illimitée puisque la richesse de l’essence des choses est illimitée. Le doute de Malthus consistait à questionner cette capacité de l’homme à être objectif, cette capacité de l’homme à vouloir accroître la valeur économique en découvrant les secrets de la nature.

Il ne suffit pas de projeter, il faut réaliser, il faut matérialiser. Pour qu’un projet devienne réalité, il faut non seulement le penser mais aussi croire en ses possibilités et l’exécuter. « L’être humain n’est pas seulement un homo sapiens c’est aussi un homo agens » 

TEXTO ORIGINAL DEL AUTOR EN EL IDIOMA ESPAÑOL EUROPEO (CASTELLANO)

  1. La necesidad de considerar los fines en el trabajo

El factor más escaso y necesario es el trabajo humano. De los bienes naturales y artificiales sólo pueden educirse sus idoneidades mediante la acción del trabajo humano que las fecunda. Y tiene que ser la acción del trabajo humano, porque sólo el ser humano es capaz de tener presente en su actividad los fines últimos hacia los que se encamina su acción, su trabajo.

Cada vez se valora menos la rutina minuciosamente exacta y lenta del técnico-funcionario que se ajusta formalmente al engranaje de la planificación y se revaloriza, quizás por su escasez, la mayor capaci­dad de comprensión de situaciones altamente complejas y la adop­ción de decisiones innovadoras. Se pide cada vez más, en el trabajo, la índole intelectual y libre del ser humano que tiene presente los fines de su actividad. Cada vez más se requiere una mayor conjun­ción entre saber y trabajo. No basta con trabajar, hay que saber trabajar. La enseñanza profesional permanente, además, es una exi­gencia del rápido cambio tecnológico. El saber es trabajo y el trabajo es saber.

Si queremos incrementar el valor económico, y para ello el traba­jo es causa importante, tenemos que esforzamos por saber y pensar mejor. Con el aprovechamiento de los recursos de la inteligencia humana es posible juzgar y ordenar mejor el progreso técnico y cien­tífico, así como las actuales estructuras sociales, para conseguir así un crecimiento cualitativo y cuantitativo en términos de humaniza­ción. Se necesita una intensificación del cultivo de las humanidades en esta sociedad tecnocrática que permita al hombre redescubrir la riqueza  encerrada en su propio ser, los amplios horizontes de su conocimiento y la fuerza creativa de su libertad.

El trabajo humano se constituye en actividad económica esencial en cuanto que sólo el hombre es capaz de descubrir las idoneidades primarias de los bienes en orden a las últimas y transformar esos bienes en otros más próximos a los finales de consumo o de uso, haciendo emerger la simple posibilidad de ser en los primeros, en realidad en los segundos.

Con su racionalidad y libertad, con su capacidad de objetivar, de apropiarse de las cualidades esenciales de todos los seres materiales, el hombre descubre nuevas relaciones, nuevos valores, y con su tra­bajo físico posterior las hace realidad. La capacidad inventiva del hombre es ilimitada, en cuanto que prácticamente ilimitada es la riqueza encerrada en el ser de las cosas. La duda de Malthus suponía cuestionar esta capacidad de objetivar del hombre, esta capacidad inventiva orientada a ampliar indefinidamente el valor económico mediante una penetración más profunda en los secretos de la natura­leza.

No basta con proyectar; hay que realizar. No basta la forma, hay que materializar. Para hacer un proyecto realidad, además de pensar­lo, hay que pensarlo como posible de hacer con los inputs ya existen­tes, y hacerlo. «El ser humano no es solamente homo sapiens, sino también homo agens.»

 

 

La prioridad del trabajo humano sobre los bienes materiales

FUNDAMENTOS DEL VALOR ECONÓMICO La prioridad del trabajo humano sobre los bienes materiales El trabajo (causa eficiente) es prioritario al producto (causa mate­rial), puesto que éste no podría ejercer su influjo causal sin el previo ejercicio del trabajo. El ser humano es el principio del que fluye primariamente cualquier acción que hace que algo sea… Seguir leyendo La prioridad del trabajo humano sobre los bienes materiales